• QUELLE HUILE D'OLIVE CHOISIR ?Les propriétés cardiovasculaires de l'huile d'olive sont dues aux polyphénols qu'elle contient. Pour la première fois, les effets bénéfiques sur le taux de cholestérol sont démontrés chez l'homme en situation réelle de consommation. De plus, des différences en fonction de la qualité des huiles employées sont clairement observées.

    L'huile d'olive et ses polyphénols

    Les effets bénéfiques de l'huile d'olive sont attribués à sa richesse en polyphénols, des composants dits antioxydants qui, en quelque sorte, détoxiquent l'organisme et aident ainsi à maintenir le c½ur et les vaisseaux en bon état de marche.

    Les effets des polyphénols de l'huile d'olive sur les taux de cholestérol circulants ont été constatés in vitro, c'est-à-dire dans des tubes à essais, mais jamais chez l'homme in vivo. L'étude européenne Eurolive vient combler ce manque.

    Polyphénols et taux de " bon " cholestérol

    Celle-ci a porté sur 200 hommes recrutés dans 5 pays (Espagne, Danemark, Finlande, Italie, Allemagne). A trois reprises, ils devaient adopter durant 8 jours une alimentation dont les matières grasses ajoutées étaient strictement apportées par de l'huile d'olive (25 ml par jour, soit l'équivalent d'une cuillère à soupe).

    Trois types d'huile d'olive aux teneurs différentes en polyphénols ont été testés :

    huile d'olive vierge contenant 366mg/kg de polyphénols ;

    huile d'olive raffinée contenant 2,7 mg/kg ;

    huile d'olive mixte (mélangeant huile d'olive vierge et huile d'olive raffinée) contenant 164 mg/kg.
    Après chaque période de 8 jours, un bilan lipidique était réalisé.

    On observe une augmentation progressive du taux de HDL-cholestérol, également appelé " bon cholestérol ", lorsque la teneur en polyphénols de l'huile d'olive consommée augmente.

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  • Après un repas un peu trop copieux, riche en graisses, et une consommation abondante d'alcool, de café voire de tabac, il n'est pas rare de ressentir une certaine pesanteur d'estomac... Cette sensation de mal digérer ou de digérer lentement, que l'on appelle dyspepsie, se traduit par des éructations, une distension abdominale voire des nausées.


    La solution classique

    Elle consiste à prendre des anti-spasmodiques qui réduisent les contractions des muscles digestifs, des anti-acides qui freinent la surproduction acide de l'estomac et soulagent les brûlures, ainsi que des pansements gastriques pour calmer les symptômes.

    Quant aux maux de tête parfois intenses associés à des digestions difficiles, ils peuvent être rapidement contrés par des antalgiques, en évitant alcool et tabac qui contribuent à entretenir les céphalées et les nausées.

    En parallèle de ces solutions médicamenteuses, il existe des solutions plus naturelles :

    Au rayon des plantes

    De nombreuses plantes contiennent des huiles essentielles eupeptiques qui viennent à bout des digestions difficiles. C'est le cas notamment du carvi, de l'aneth ou du fenouil qui, par ailleurs, combat l'aérophagie et les ballonnements abdominaux. D'autres espèces végétales comme le Boldo, stimulent les fonctions digestives après un repas trop copieux. Par ailleurs, l'ananas, riche en broméline, a également une action digestive de même que la papaye ou encore le gingembre, un tonique aromatique largement utilisé dans la dyspepsie. Enfin, des plantes comme l'artichaut, le romarin ou le radis noir stimulent les fonctions hépatiques et facilitent également la digestion.

    Mais vous devez également ménager votre estomac, saturé et devenu paresseux, le lendemain de vos agapes. Mangez léger en optant de préférence pour du poisson et des légumes cuits, évitez les aliments qui stimulent l'acidité gastrique (graisses), buvez beaucoup d'eau (les eaux minérales riches en bicarbonates, légèrement pétillantes et salées, atténuent les aigreurs digestives), des infusions, des potages et des bouillons.

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  • 6.25 milliards d'euros, c'est la somme qu'économiserait chaque année la collectivité en dépenses de santé, si 25 millions de Français pratiquaient une activité physique régulière.

    30 à 40 % des femmes n'ont jamais fait de frottis de dépistage du cancer du col de l'utérus. Et dans tous les cas, on constate un désintérêt pour ce dépistage après 50 ans.

    70 % des Français se disent concernés par le surpoids, les maladies cardio-vasculaires ou le diabète, mais ils ne sont que 14 % à prendre des mesures de prévention pour limiter les risques !

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