• Activités économiques

    Bien que l'extraction industrielle du diamant soit arrêtée en Cote d'Ivoire, une exploitation artisanale se poursuit à Séguéla et Tortiya, situés dans la zone contrôlée par la rébellion ivoirienne. Les résultats de cette exploitation artisanale restent assez controversés. Jugés maigres, voire dérisoires par certains[7], ces résultats sont évalués par d’autres au chiffre record de 300 000 carats et le revenu annuel du trafic lié à cette activité, estimé à plus de 40 milliards de FCFA[8]. En 2009, la Côte d'Ivoire reste toutefois le seul pays sous embargo de l'ONU pour l'exportation du diamant en raison de la crise que connaît ce pays